Retirerson no 6 de manière permanente et auprès de toutes les équipes de la NBA permet de nous à New York; 22 h 20 Une golfeuse de 12 ans prendra part à ChetHolmgren, le grand joueur recrue d’Oklahoma City Thunder, manquera toute la saison 2022-23 en raison d’une blessure de Lisfranc au pied droit, a-t-on appris jeudi. Holmgren s’est blessé lors d’un match Jamal Crawford CrawsOver Pro-Am à Seattle samedi dernier. La nouvelle a été rapportée pour la première fois par ESPN Adrien Wojnarowski. Holmgren a [] Nomde l'équipe NBA de New-York Solution Cette page vous aidera à trouver toutes les solution de CodyCross à tous les niveaux. À travers les astuces et les solutions que vous trouverez sur ce site, vous pourrez transmettre chaque indice de mots croisés. cash. Magic Johnson le business, la NBA et son erreur avec LeBronJohnson prédit le nom des prochaines grandes équipes rivales au sein de la et évoque son seul regret du temps où il dirigeait les Los Angeles Oliphant/Getty ImagesOct. 21, 2021The New York Times traduit en français une sélection de ses meilleurs articles. Retrouvez-les d’athlètes de nos jours envisagent leur héritage au-delà des terrains de compétition, au travers d’entreprises qu’ils auront créées et de soutien apporté à leurs communautés. Magic Johnson a été pionnier de cet état d’esprit en fondant un empire commercial une fois sa carrière de joueur de la la National Basketball Association derrière lui.“C’était tout naturel pour moi de revenir dans la communauté dans laquelle j’avais grandi, pour l’aider à changer, pour fonder des entreprises et créer des emplois pour les gens”, nous explique Johnson lors d’un récent entretien téléphonique. “Ce qui manquait dans la communauté Noire, c’était des services et des produits de qualité.”Et Johnson de citer des joueurs comme LeBron James, Kevin Durant et Stephen Curry comme exemples de joueurs qui suivent ses pas en inspirer d’autres, sur le terrain et en a servi d’ambassadeur officieux de la pendant la quasi-totalité de sa vie d’adulte sa rivalité avec Larry Bird et les Boston Celtics dans les années 1980 a propulsé vers des sommets la notoriété de la ligue auprès du grand public, et les exploits de la Dream Team dont il faisait partie aux Jeux Olympiques d’été en 1992 ont contribué à populariser le jeu à l’échelle titre est maintenant officiel pour célébrer ses 75 ans, la a choisi Johnson, Clyde Drexler Dirk Nowitzki, Bob Pettit et Oscar Robertson pour représenter, en 2021-2002, les différentes périodes de son qui a abruptement quitté son rôle de président des opérations basketball des Los Angeles Lakers en 2019, va également faire son retour cette saison sur la chaîne d’informations sportives ESPN comme commentateur dans l’émission “NBA Countdown”.L’ancienne star des Lakers a accordé une interview au New York Times dans laquelle il évoque l’état actuel du basketball, cette ère d’émancipation des joueurs, et un regret personnel qu’il garde de son mandat à la tête des interview a été condensée et légèrement éditée pour des besoins de connaîtra-t-elle à nouveau de vraies rivalités, comme dans les années 1980 quand les Lakers se retrouvaient presque toujours en finale contre les Celtics?Je crois que, plus les Knicks et les Nets jouent, plus ça a des chances d’arriver, vous ne trouvez pas? Parce que Brooklyn est maintenant une équipe championne. Et les Knicks sont une équipe de playoff. Et c’est ce qu’on va voir. Donc ce qui se passe, c’est qu’il faut qu’elles soient bonnes au même moment. Il faut qu’il y ait vraiment de la haine entre on voyait Philadelphia contre Boston, Dr. J [Julius Erving] et Larry Bird, Chicago contre Detroit, Isiah Thomas, Bad Boys contre les Bulls de Michael Jordan, ils avaient une vraie aversion les uns pour les autres. Donc je pense qu’on est en train de créer quelques-unes de ces rivalités. Je ne sais pas si elle sera un jour aussi intense que celle des Lakers-Celtics, mais si au moins on arrive à une espèce de rivalité, c’est Photo/Lennox McLendonUne grande partie de ce que vous laissez en héritage, c’est ce vous avez accompli en dehors des terrains de basket, comme businessman dans les commmunautés défavorisées. Qu’avez-vous appris en travaillant avec ces dernières, et quelles erreurs de grandes entreprises qui tentent de faire pareil avez-vous notées? voir ?Eh bien le commerce de détail a fait l’erreur de penser qu’on ne pouvait pas faire d’argent avec la communauté Noire. Et sans surprise, on a prouvé le contraire avec les Magic Johnson Theatres . C’est pour ça qu’on voit les grands détaillants s’investir plus que jamais aujourd’hui dans l’Amérique urbaine, parce qu’ils savent qu’ils auront un retour sur essaient aussi de faire du bien dans nos communautés. Je dis toujours on peut à la fois bien faire et faire du bien. Quand est arrivé toute cette histoire avec George Floyd, le fait qu’il ait été assassiné, on a vu beaucoup d’entreprises du Fortune 500 — parce qu’il y avait tellement de jeunes qui manifestaient dans les rues. Mais c’était pas juste des Noirs — c’était aussi des Blancs et d’autres groupes de personnes. C’est là que tout le monde s’est dit “Ça suffit. Je dois faire quelque chose. Je vais investir dans l’Amérique urbaine. “Pas mal de PDG m’ont appelé pour dire “Earvin, on veut faire quelque chose. On n’a aucune idée quoi faire.” J’ai répondu, “Eh bien vous pourriez commencer avant tout par mettre de l’argent dans des petites banques Noires parce que le Paycheck Protection Program, un programme fédéral d’aide aux entreprises touchées par la pandémie, n’a pas eu de retombées chez les Latinos, les propriétaires de petites entreprises, les petits entrepreneurs Noirs, ou les femmes entrepreneures. Et si ces banques avaient des fonds, alors elles pourraient vraiment accorder des prêts à ces entrepreneurs ou aux gens qui veulent s’acheter un premier logement, dans la communauté Noire. Maintenant elles ont plus de cash pour accorder plus de prêts, n’est-ce pas?” Alors il y en a beaucoup qui ont fait ça. Ensuite je leur ai dit, “Écoutez, votre conseil d’administration doit refléter l’Amérique, alors il faut que vous recrutiez davantage de gens ou que vous élargissiez vos conseils d’administration, et aussi au niveau de la direction et de la haute hiérarchie, il faut inclure davantage de minorités à ce niveau-là.”Est-ce que ça vous intéresserait de diriger à nouveau une franchise de la dépend de la situation, donc si de bonnes criconstances se présentent, j’y réfléchirai peut-être. Tout est une question de timing. Tout dépend de l’équipe. Moi je suis un Laker du matin au soir, donc il y a des chances que je retravaille avec Jeanie Buss, et c’est pas une blague. C’est m’a déjà proposé d’être le propriétaire de certaines de ces équipes, et puis j’ai décliné ces offres. Mais encore une fois, j’aime tellement ce sport. Je connais ce sport. Je connais les joueurs. Je connais les agents. Ce qui est bien avec moi, c’est que je suis là où je sais ce qui marche. Je sais à quoi ressemble une équipe gagnante qui a sa place dans le championnat. Donc je sais comment parler aux joueurs — vous n’avez qu’à demander à Julius Randle et à Lonzon Ball et tous ceux-là, parce que j’aime les voir avancer et réussir si bien, et donc les aider à atteindre leur meilleur potentiel. C’était ça mon rôle, et après tu les vois y arriver. C’était vraiment bien de voir y a-t-il des choses que vous auriez fait différemment à la direction des Lakers?Non, j’avais un plan en tête. On était au dessus du plafond salarial. Mon plan était de nous faire passer ce plafond. On y est arrivé. J’ai dû faire des choix difficiles. Julius était en train de monter. Je sais que Larry Nance Jr. était en train de monter, donc on a dû prendre des décisions difficiles qui leur allaient, mais qui allaient aussi aux autres Lakers. Donc je ne pouvais pas leur signer ces rallonges parce que je savais que LeBron était en train de monter, et Kawhi Leonard et tous ces gars-là, donc j’essayais de réserver un peu de ce plafond, pour pouvoir signer une de ces superstars, parce qu’on ne peut pas gagner un championnat sans superstar. Au final, on a fait les choses comme il seule chose que j’aurais peut-être dû faire, c’était peut-être de parler à LeBron avant de démissionner, parce que je sentais que je lui devais ça, donc je dirais que c’est peut–être la seule erreur que j’aie faite, de ne pas avoir parlé à Jeanie ni parlé à LeBron avant les faits. Oui, ça je ne le referais pas James est arrivé à Los Angeles tard dans sa carrière. Qu’est-ce qu’il peut faire pour gravir les échelons et devenir un des plus grands Lakers de l’histoire?La réponse, vous la connaissez gagner, c’est tout. Il faut qu’il en gagne un autre. Les fans des Lakers l’adorent déjà. Il nous en déjà gagné un. Il a déjà son maillot, qui sera accroché, mais la plupart des gars qui sont chez les Lakers ont gagné plusieurs championnats. C’est tout ce qu’il a à faire. En gagner un autre, c’est tout. Parce qu’après, il ne s’agit pas juste des Lakers. Il s’agit de l’héritage qu’il laisse ici, et c'est pas seulement ici — c’est à Hollywood aussi. LeBron, il est tellement extraordinaire, et pas uniquement comme joueur de basketball c’est la plus grande célébrité dans la ville de la célébrité. Il faut lui reconnaître ça, aussi. Publié le lundi 25 juillet 2022 à 06h28 Michael Jordan, Larry Bird, Magic Johnson... Ces noms ont fait les grandes heures de la NBA dans leurs équipes respectives, mais ils ont également bousculé l'histoire du sport au sein de la Dream Team, la sélection américaine des Jeux Olympiques de 1992. Six semaines de matchs dominés sans pareil. C'est une équipe de basket qui a marqué l'histoire du sport en seulement six semaines d'existence et 14 rencontres officielles jouées. Il y a 30 ans, la Dream Team, l'équipe de rêve, s'imposait comme la plus grande équipe de basket au monde, une réunion des plus grands sportifs de tous les temps. Celle de Michael Jordan, Magic Johnson, Larry Bird, Karl Malone, Patrick Ewing ou encore Charles Barkley. Autrement dit, les meilleurs joueurs de la NBA, le championnat de basket américain. Entre juillet et août 1992, ils participent aux Jeux olympiques de Barcelone, marquent plus de 100 points par match, éliminent tous les adversaires avec a minima 30 points d'avance et gagnent, sans surprendre personne, la médaille d'or. Pour ceux qui ne l'ont pas connue, France Inter vous raconte sept faits marquants sur cette équipe de légende. Domination sans pareille aux JO de 1992Dès l'annonce de sa composition, l'équipe est présentée partout dès 1991 comme la meilleure jamais assemblée Michael Jordan double champion NBA est à la tête de la meilleure équipe de NBA aux côtés de Scottie Pippen double champion NBA aussi, les Chicago Bulls, considérée même comme la meilleure équipe de tous les temps. Larry Bird triple champion NBA avec les Celtics et Magic Johnson quintuple champion NBA avec les Lakers, deux des meilleurs joueurs des années 80 restent à un haut niveau malgré l'approche de la fin de carrière et les blessures. Les autres sont individuellement des joueurs parmi les meilleurs des différentes équipes de NBA, comme Charles Barkley, Patrick Ewing, David Robinson, Clyde Drexler ou encore John Stockton. Michael Jordan, Magic Johnson et Clyde Drexler lors du match contre l'Espagne des JO. Le Tournoi des Amériques, entre le 27 juin et le 5 juillet 1992, leur donne enfin l'occasion de jouer leur premier match officiel. C'est un rouleau compresseur. Le premier jour, la Dream Team affronte Cuba et met à ses adversaires 79 points d'écart 136 - 57. En tout, six matchs, zéro défaite et des victoires avec comme pire performance seulement 38 points d'avance. Les JO de Barcelone se déroulent entre le 25 juillet et le 9 août, et 12 équipes s'affrontent pour gagner la médaille d'or. Pour son premier match de la compétition, la Dream Team domine sans surprise l'Angola 116 à 48. Elle balaye également l'Allemagne, le Brésil, l'Espagne, Porto Rico et la Lituanie avec plus de 40 points d'avance. Il n'y a que la Croatie qui "échappe" à ces scores punitifs, lors d'un premier match pendant les éliminatoires 103 à 70 et en finale 117 à 83. La domination sur toute les équipes de la Dream Team est telle que la presse et le monde du basket se demande si l'équipe n'est pas trop forte pour ne pas pénaliser l'intérêt pour le sport. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt. La performance de la Croatie en revanche, qui jouait pour la première fois une compétition internationale depuis son indépendance en 1991, n'a rien d'étonnant. La plupart de ses joueurs constituaient déjà la très forte équipe de Yougoslavie. Dražen Petrović, qui évoluait en NBA depuis 1989, aurait pu devenir l'un des grands joueurs du championnat américain s'il n'était pas mort dans un accident de voiture en 1993. Tony Kukoč, quant à lui, a rejoint les Chicago Bulls en 1993, est devenu champion de NBA à trois reprises avec Jordan et Pippen et l'un des meilleurs joueurs européens de l'histoire. Certains spécialistes du basket estiment aujourd'hui que si la Yougoslavie n'avait pas éclaté, son équipe de basket aurait été la seule à pouvoir rivaliser quasiment d'égal à égal avec la Dream Team. Une seule défaite dans leur histoireCe n'était pas un match officiel, mais une sorte de match amical hors des circuits. La rencontre a eu lieu en juin 1992 à San Diego. Face à Jordan et les autres, une équipe constituée pour l'occasion de jeunes joueurs issus du championnat universitaire. Parmi eux, Grant Hill, Chris Webber, Penny Hardaway, et Allan Houston qui feront dans la dizaine d'années suivante les belles heures de la NBA. L'objectif rôder une équipe de légendes qui ne jouent jamais ensemble mais les uns contre les autres, pour préparer les Jeux olympiques qui débutent quelques semaines plus tard. Les deux équipes se quittent au bout de 20 minutes seulement, sur une victoire des jeunes 62 à 54. Les stars de la NBA, de l'avis de tous les participants, se font largement dominer durant le match, physiquement et stratégiquement, par des universitaires qui se sont sentis pousser des ailes. Les rares images trouvables aujourd'hui sur Internet sont cruelles. Dans une interview à un média américain en 2015, Grant Hill a partagé ce bilan de la rencontre "Houston a rentré 10 paniers à trois points pendant le match. Ils n'arrivaient à rien avec Webber. Je vous jure que Webber les a tués. On a tous eu nos grands moments." On ajoutera Bobby Hurley, avec son appareil dentaire, donnant aux trentenaires Larry Bird et Magic Johnson l'impression d'être d'une lenteur incroyable. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt. Michael Jordan a eu l'honnêteté de reconnaitre la faiblesse des siens le jour même à un journaliste du Los Angeles Times "On s'est fait tuer aujourd'hui. Ils nous ont battus et ils ont très bien joué. On est tellement peu coordonnés et tellement en manque de confiance. Aucune fluidité." Le lendemain, la revanche est jouée, et le bilan n'est pas le même. Le rodage était de courte durée et contrairement au premier match, Jordan a passé plus de temps sur le terrain. "On ne dépassait pas la moitié du terrain avec la balle", se souvient Grant Hill. Victoire de la Dream Team, avec "environ 100 points d'avance", croit se rappeler Charles Barkley. USA - France, le massacre avant les JO21 juillet 1992. La Dream Team arrive à Monte-Carlo pour un dernier match amical avant les JO. C'est la seule occasion qu'aura l'équipe de France de se mesurer aux géants américains. Les Bleus, quatrième meilleure équipe européenne à l'époque, n'ont pas réussi à se qualifier malgré tous les efforts des solides Stéphane Ostrowski, Georgy Adams, Frédéric Forte ou encore Hughes Occansey. Les Américains, qui viennent de dominer quant à eux le Tournoi des Amériques, sont aussi détendus sur la plage monégasque que sur le terrain. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt. Dans les gradins, pas grand monde pour soutenir les Français. Des jeunes crient avec ferveur des "allez Jordan" pendant le match. Hugues Occansey avait 25 ans en 1992 et était le meilleur marqueur du championnat français. Face aux américains, il ne marque que quatre points en 26 minutes de jeu. Auprès du journal La Nouvelle République, il se souvient d'un beau match de gala "C'est la seule fois de ma carrière où je suis entré sur un terrain en me disant 'c'est pas grave si on perd'. Ce jour-là, on a tous voulu se faire plaisir." La France s'incline sur le score 111 à 71, dominée en particulier par Michael Jordan et Charles Barkley avec 21 points chacun. Première équipe américaine constituée de joueurs NBAAvant 1992, la Fédération internationale de basket-ball qui organise les compétitions internationales, n'autorise pas les joueurs de NBA à participer aux JO. Une règle liée à la domination totale des Etats-Unis sur la discipline lors des six Olympiades entre 1948 et 1968 . L'équipe américaine est donc constituée de joueurs universitaires, dont certains ont fini, par la suite, par se retrouver à évoluer dans le championnat professionnel américain. Un certain Michael Jordan, joueur des Tar Heels de l'université de Caroline du Nord, quelques semaines avant son entrée en NBA, a d'ailleurs participé aux JO de Los Angeles en 1984. Contrairement à ce qui pouvait être pensé à l'époque, quand le basket, comme d'autres sports, était au cœur de la Guerre froide, ni la NBA, ni USA Basketball la fédération nationale ne sont derrière l'évolution de la réglementation. Ils n'ont pas non plus milité pour, par esprit de revanche, après la défaite de la sélection américaine en demi-finale contre l'URSS aux JO de Séoul en 1988. En avril 1989, la Fédération internationale de basket-ball amateur perd le "amateur" de son nom et vote pour ouvrir les compétitions aux joueurs professionnels, sous l'impulsion du secrétaire général de la FIBA d'alors, Borislav Stanković, une des anciennes légendes du basket en Yougoslavie l'autre grande nation du basket. Ce dernier trouve illogique que tous les meilleurs joueurs professionnels du monde entier puissent représenter leur pays aux JO, sauf les Américains. Le résultat de la compétition en ressort forcément faussé. Une fois la règle abolie, USA Basketball monte donc son équipe pour les JO de 1992 avec la crème de la crème, coachée par l'entraineur aux deux titres de champion NBA avec les Detroit Pistons, Chuck Daly. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt. Trois de ses joueurs étaient déjà champions olympiquesAvant 1992, quatre joueurs de la Dream Team avaient déjà représenté les couleurs des États-Unis lors de JO précédents, lorsqu'ils n'étaient encore que des joueurs du championnat universitaire Michael Jordan, Patrick Ewing, Chris Mullin et David Robinson. En 1988 à Séoul, l'équipe américaine avec Robinson fait face à plus fort. Elle termine avec la médaille de bronze, derrière l'URSS championne et la redoutable équipe de Yougoslavie, médaille d'argent. Patrick Ewing à gauche, Michael Jordan au milieu et Chris Mullin à droite après leur victoire aux JO de 1984. En revanche, en 1984, la chance avait souri à l'équipe américaine les trois jeunes qui n'avaient que 20 ans, Jordan, Ewing et Mullin décrochent facilement l'or aux JO de Los Angeles en écrasant l'Espagne en finale sur le score de 96 à 65. Certes, ils n'auront jamais à affronter l'URSS qui boycotte la compétition et la Yougoslavie qui manque de chance face à l'Espagne en demi-finale, mais à l'époque et avant même son entrée en NBA, on voit déjà la hargne et le talent de Michael Jordan. Chris Mullin fera une grande carrière au sein des Golden State Warriors, et Patrick Ewing deviendra l'un des défenseurs les plus redoutables avec les New York Knicks. Magic Johnson, séropositif, n'était même plus en NBAEarvin "Magic" Johnson a été l'un des meilleurs meneurs de l'histoire et l'un des passeurs les plus adroits et les plus inventifs de ce sport. Mais le 7 novembre 1991, après presque une décennie de domination, le quintuple champion de NBA, figure emblématique des Lakers, doit mettre un terme à sa carrière. Ce jour-là, il convoque la presse pour faire une annonce "À cause du virus du sida que je viens d'attraper, je dois quitter les Lakers aujourd'hui". Johnson est séropositif, il a perdu du poids, se sent fatigué, mais ne souffre pas de la maladie. À 32 ans et pourtant encore quelques belles années avant de prendre sa retraite, le joueur choque un monde habitué à voir disparaître rapidement ceux qui annoncent à l'époque être contaminés. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt. Mais le départ est de courte durée. Le 9 février 1992, visiblement en pleine forme et à la demande de ses fans qui ont voté pour, il participe au All-Star Game, le grand match d'exhibition annuel qui voit s'affronter les meilleurs joueurs de l'ouest et de l'est des États-Unis. Pourtant absent des terrains depuis plusieurs mois, Johnson est désigné meilleur joueur du match. Avant ce match, et avant même l'annonce de sa séropositivité, Johnson était appelé par le patron de la NBA, David Stern, pour intégrer la nouvelle équipe des États-Unis qui jouera aux JO. "Si je suis en bonne santé, j'irai", dit dans la presse quelques semaines plus tard celui qui rêve de jouer avec Larry Bird et Michael Jordan comme coéquipiers. C'est lui qui a d'ailleurs ensuite réussi à convaincre Bird, qui souffrait du dos et s'apprêtait à prendre sa retraite, et Jordan, pas prêt à se lancer avec n'importe qui, de rejoindre l'équipe. Avec la médaille d'or gagnée, il montre qu'il est encore un grand joueur sur le terrain et qu'on peut accomplir de grande choses même en étant porteur du VIH. Malheureusement, plusieurs joueurs à l'époque font part de leur désapprobation quand il semble parti pour reprendre sa carrière en NBA dès 1992, craignant notamment un risque de contamination en cas de blessure. Il ne reviendra finalement chez les Lakers qu'en 1995, à 36 ans, le temps d'une saison. Un seul de ses joueurs n'était pas professionnelTous les joueurs sélectionnés dans l'équipe étaient des grands noms de la NBA, à l'exception de Christian Laettner. À 22 ans au moment de sa sélection dans la Dream Team, il est l'une des stars du NCAA, le championnat universitaire de basket qui sert de tremplin vers la NBA. De 1988 à 1992, il joue pour l'université de Duke. Sa progression et ses statistiques de jeu le classent parmi les meilleurs joueurs de l'histoire du basket universitaire. En 1991 et 1992, Duke gagne le championnat universitaire, notamment grâce aux performances de Laettner. Mais c'est lors de la finale régionale en mars 1992 contre les Wildcats du Kentucky qu'il entre dans l'histoire. Mené 103 à 102 à l'issue d'une prolongation très serrée, il ne reste que 2,1 secondes de jeu à Duke pour tenter un tir de dernière minute. Grant Hill future star de la NBA également, engage depuis le fond du cours, sous le panier. Il lance la balle directement à Christian Laettner qui se trouve au niveau de la ligne de lancer-franc adverse. Il l'attrape, feinte le défenseur et tire ce qui est resté comme "the shot" victoire sur le buzzer. Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt. C'est ce qui vaut au jeune joueur d'être retenu pour entrer la saison suivante en NBA, et d'être sélectionné dans la Dream Team par la direction de l'équipe nationale qui souhaitait au moins un joueur issu du championnat universitaire dans l'effectif. Deux autres jeunes joueurs avec de meilleures statistiques de jeu étaient dans la course, devenus depuis des légendes du basket Shaquille O'Neal et Alonzo Mourning. Sa hargne et sa brutalité sur le terrain, le fait qu'il soit perçu comme le produit d'une des universités de l'élite blanche du pays alors qu'il venait d'un milieu modeste et sa sélection dans la Dream Team considérée par certains comme volée, lui valent une réputation assez négative pendant les 13 années d'une carrière honorable sans tutoyer les sommets. Il est même l'objet d'un documentaire de la chaine sportive ESPN intitulé "Je déteste Christian Laettner". Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt. Vous trouvez cet article intéressant ? Faites-le savoir et partagez-le. Retrouvez sur cette page toutes les actualités sur l'équipe de NBA des New York Knicks, l'effectif complet et les statistiques pour chaque joueur des New York Knicks. Retrouvez les dernières rumeurs, les résultats des matchs... Si vous êtes fan des New York Knicks, n'hésitez pas à ajouter cette page à vos favoris !

nom de l équipe nba de new york